A vous tous
(Akiane - autoportrait CO-CREATION : une promesse pour Tous !)
Oui, je suis vivant et je vous aime infiniment et particulièrement.
Je connais chacune de vos blessures, chacun de vos tourments, vos pensées les plus secrètes, vos terreurs, vos désirs.
Je les connais parce que j’habite votre âme, mais vous ne savez pas que j’y habite... Aussi vous ne venez pas m’y visiter,
moi qui peux vous donner tout l’amour qui vous manque, celui de votre père, celui de votre mère, celui de vos frères et sœurs.
Je suis dans votre âme, je frappe, je frappe pour que vous m’adressiez la parole,
mais on vous dit que je n’existe pas, alors vous résistez, vous ne me répondez pas.
Vous languissez, vous désespérez, votre vie devient un cauchemar, une descente aux enfers,
un lieu de distractions et de jeux, sans cesse, pour ne plus entendre ma voix.
Cependant je me manifeste à vous, sans cesse et ce dès votre toute petite enfance.
Mais tout autour de vous, il n’y a que bruit, que discours qui disent toujours la même chose : Dieu n’existe pas.
Dans les bureaux, dans les usines, dans les collèges, dans les lycées, dans les universités, dans les colloques de recherche scientifique,
Chez les médecins, chez les juristes, chez les psychologues : Dieu n’existe pas…
Et vous avez tellement entendu ce discours que vous ne cherchez plus à le vérifier.
Vous vivez avec cette absence terrible, terrifiante, parce qu’elle vous mène à la mort.
Et quand vous grandissez, vous commencez à toucher aux alcools, aux drogues, aux aventures malheureuses.
Et dès que ce pli est pris, Satan est maître. Vous ne voyez plus rien.
Vous ne pouvez plus rien saisir de moi-même.
Vous êtes si loin enfoncés dans le mensonge de la société,
Et il me faut encore venir supplier mes prophètes de venir vous dire : j’existe, on vous a menti, on vous ment depuis presque un siècle.
Avec les philosophes du XVIIIème siècle, a pénétré l’esprit de mensonge et d’arrogance, l’esprit de destruction, l’esprit du mal,
L’esprit du doute et du libre arbitre, l’esprit de la liberté qui n’est autre que l’esclavage.
Et l’on vous a abreuvé dans les collèges et les lycées de cette nourriture viciée, de ces poisons insufflés chaque jour à dose suffisante,
Pour que votre esprit soit complètement livré au désordre et au scepticisme.
L’Eglise, ma sainte Eglise, a été tant critiquée et tant déformée que vous n’en apercevez qu’un moignon et que votre intelligence s’est fermée à son Mystère.
On vous a menti sur tout : sur la science, sur l’histoire, sur la religion. On vous a menti pour détruire mon église et donner vos âmes au malin qui s’en réjouit.
Mais mon cœur ne se réjouit pas, mon cœur saigne. Celui de la très sainte Trinité saigne sans cesse,
Tandis que des larmes de sang inondent le visage de ma très sainte mère.
Maintenant il faut dire, il faut dénoncer, il faut oser vous dire la vérité, O ma jeunesse car vous m’appartenez.
Vous appartenez à votre Dieu qui vous a fait semblable à lui, qui a préparé pour vous le Royaume tout entier,
qui ne l’a pas gardé pour lui-même, mais qui attend et désire que vous le partagiez.
Ce Royaume, mon Royaume, est à vous, O mes fils, O mes filles, O mes enfants, O mes adolescents,
N’écoutez plus les mensonges d’une société qui vous veut tant de mal.
Je suis vivant, je vous aime, je vais vous conduire aux plus beaux pâturages, aux verdures innombrables, aux beautés de mon royaume.
Je vais vous apprendre à vivre avec moi sans cesse. Vous ne serez plus jamais seuls, vous ne serrez plus isolés, vous serez consolés sans cesse.
Vous connaîtrez la joie de vivre, de respirer, d’aimer ;La joie d’Etre. Vous commencerez à vivre. Croyez en moi.
Depuis 2000 ans je me suis incarné, fils unique du père. Cette incarnation est vraie. J’ai vraiment vécu.
J’ai enseigné, j’ai consolé, j’ai ressuscité des morts, j’ai guéri tous ceux qui m’approchaient : lépreux, infirmes, aveugles, paralytiques. Cela je l’ai fait.
Des milliers d’hommes et de femmes en me voyant m’ont cru et sont devenus mes disciples.
Puis je suis mort ignominieusement sur une croix, parce que je suis. Mais je suis ressuscité et je suis apparu à 70 de mes disciples.
Tout cela est vrai.
Si bien que des millions d’hommes et de femmes, depuis 2000 ans, sont morts pour témoigner que tout cela est vrai.
Ils ont accepté toutes sortes de persécutions pour moi.
Ils ont accepté d’être emprisonnés, dévorés par des fauves dans des arènes, flagellés, crucifiés, pour moi.
Saine Blandine est morte dans la joie pour moi.
Sainte Jeanne d’Arc à 19 ans a accepté de mourir brûlée vive en m’embrassant.
Et vous pouvez croire que ces milliers, ces millions, d’hommes et de femmes qui ont donné leur vie pour témoigner que j’existe,
Vous pouvez croire raisonnablement qu’ils étaient tous malades, ou simples d’esprit, ou sous l’emprise d’une quelconque rêverie ?
Et que cette rêverie se poursuive 2000 ans après ma mort sur toute la planète ! Cela ne vous fait-il pas réfléchir ?
Que des chinois au milieu du monde communiste acceptent aujourd’hui l’emprisonnement, la torture pour mon nom ! Cela ne vous fait pas réfléchir ?
Que des milliers d’hommes, de femmes, d’enfants croient en mon nom, m’aiment, réalisent des œuvres extraordinaires !
Pensez à mère Térésa, à sœur Emmanuelle, aux frères du Bronx : cela ne vous fait pas réfléchir ?
Comment une telle foi ? Pourquoi ? Comment cela se peut-il ? Parce que j’existe, parce que je suis vivant,
Parce que mon père s’est réellement révélé au peuple juif il y a 3800 ans.
Parce que mon père a parlé à ce peuple par Abraham, Isaac et Jacob.
Parce qu’il a réellement envoyé Moise ; parce que tout cela est vrai.
Parce que la Bible est le livre de Dieu et que je suis vraiment son fils unique, le rédempteur de vos âmes,
Venu par la très sainte Vierge Marie, la toute pure, la toute belle, la toute abandonnée à mon Amour.
N’ayez plus peur, mes enfants, j’existe vraiment. Vous pouvez être rassurés. Dans mes bras il n’y a aucune illusion.
Je suis le vivant, l’amoureux de vos âmes, celui qui vous attend,
Celui qui prend soin de vous, qui a compté tous les cheveux de vos têtes,
Celui qui vous guérira de toute maladie, celui qui pansera chacune de vos blessures,
Les oignant des baumes de ma majesté aimante, des onguents les plus délicats, des huiles les plus parfumées,
Qui soulagera toutes vos peines, chacune d’entre elles, pas une qui ne soit oubliée, pas une dont je ne prendrai soin, si vous revenez à moi.
Je suis la vérité, Je suis le chemin, Je suis toute consolation.
O revenez ! Croyez en moi.
(Jésus - via Monique Marie - Appel aux jeunes)