Aux jeunes
(Photo miraculeuse - Jésus enfant)
Aux jeunes et aux enfants. Qu’ils sachent que je les aime, qu’ils sachent que je suis vivant...
Leur dire qu’on leur a menti est une souffrance pour eux : mes parents m’ont menti ? Mes professeurs m’ont menti ? Tous les adultes m’ont menti ?
C’est une interrogation poignante, c’est une découverte blessante.
Et cependant tu dois leur dire parce que la vérité, si elle fait mal, est là pour un bien ultime :
La vérité est à faire pour que soit délivrée leur âme, parce que leur âme existe et qu’ils l’ignorent, elle souffre en eux et ils n’en savent rien.
On vous donne des psychologues, des psychiatres et l’on omet de vous dire l’essentiel :
Vous avez une âme et votre âme est sans repos tant qu’elle n’est pas en Dieu. Et c’est elle qui souffre. C’est votre âme qui meurt de soif et de faim.
Elle meurt car elle ne connaît pas la parole de vie qui est dans la Bible et dans mon Eglise.
Quand vous commencerez à lui donner la nourriture dont elle a un besoin extrême, c’est-à-dire ma parole d’amour et de vérité,
Votre âme si meurtrie commencera à vivre et votre vie commencera.
Oui, vos parents, vos professeurs, la société vous ont menti et continuent à vous mentir.
Quelquefois vos parents ont menti parce qu’eux-memes ignorent que j’existe, moi le vivant. Ils n’ont pas lu mon livre : la Bible, et n’ont pas pu vous la transmettre.
Pour la plupart d’entre vous, Vos parents sont nés dans une civilisation déjà athée et sont ignorants. Ne leur en veuillez pas.
Vous, cherchez-moi et pardonnez-leur. Si vous me cherchez, alors un jour, eux aussi, me chercheront et toutes choses seront rétablies.
Quant à la société dans laquelle vous vivez, elle s’est construite volontairement sur la destruction de l’idée meme de mon existence.
Elle a instauré un ordre dans lequel je ne suis pas. Elle a voulu, et elle veut encore aujourd’hui, la destruction de l’homme qui passe par celle de Dieu.
C’est pourquoi elle est coupable, grandement coupable. Elle s’est forgée sur le mensonge.
Elle a détruit l’ordre ancien, d’une société soumise au Dieu d’Amour, pour créer un ordre nouveau où l’homme serait le maître absolu.
Cette malveillance, cet esprit insufflé par Satan, est celui dans lequel vous baignez depuis la maternelle sans vous en rendre compte.
Car vous croyiez en vos maîtres, vous ne pouviez imaginer qu’on vous trompait, vous ne pouviez soupçonner cette vaste conjuration contre vous,
Cette volonté de vous couper de moi, afin que l’Eglise que j’ai créée meure, afin que vous soyez prisonniers de l’esprit d’orgueil entre les mains du malin,
Livrés à ses horribles suppôts, livrés à la souffrance de la solitude, de l’incompréhension, du mal-être,
Livrés à la souffrance de sentir autour de vous, un monde superficiel, de plaisirs et de futilités,
Alors qu’en vous jaillit une vie différente, des sentiments différents, une soif différente, une beauté, une ardeur...
Et peu à peu, à force de faux raisonnements, d’intellectualisme infatué, vous avez oublié en vous cette force, cette soif...
Ou alors, au contraire, las de cette vie mesquine, ordinaire, livrée à l’ennui, à l’habitude, las de la table familiale devenue repaire d’ennuis et d’incertitudes,
Vous vous etes jetés vers les aventures sans lendemain, vers l’alcool, vers la drogue,
Parce que là au moins, il se passait quelque chose, alors qu’au collège, au lycée, à l’université même,
Il ne se passait plus rien vraiment de nouveau, plus rien qui donne vraiment le goût de vivre.
Certains même ont été jusqu’à se rapprocher, oh quelle douleur, de Satan, qui vous hait à un point si extrême qui vous ne pouvez l’imaginer.
Mais certains d’entre vous se sont donnés à lui parce qu’ils leur semblaient au moins qu’il y avait là quelque chose d’exaltant !
Car votre âme crie, votre âme nécessairement réclame l’infini, l’Amour total, la donation totale, la vie extrême et personne ne vous a parlé de moi en vérité,
Personne n’est venu vous dire suffisamment tôt que je suis celui que votre âme attend et que je suis le seul qui puisse la combler.
Car elle est faite pour l’Amour extrême et elle est sans repos tant qu’elle n’est pas en moi.
Alors chacun a pris son chemin loin de moi. Quelle tristesse sans votre Dieu ! Je suis toujours à Gethsémani, au Golgotha...
Je suis toujours crucifié. On me remet sans cesse la couronne d’épines.
Chaque enfant, chaque adolescent qui s’éloigne est une nouvelle plaie sur mon Corps très Saint !
Non, vous ne soupçonnez pas du tout l’affection extrême dont vous être l’objet. On ne vous a jamais parlé de mon Amour.
On ne vous a pas dit que dans mon royaume tout est toujours nouveau, chaque jour, chaque instant,
Que l’on ne s’y ennuie pas, que je renouvelle chaque seconde,
Que tous les rêves d’enfance, toutes les folies, toutes les inventions les plus étonnantes, les plus insoupçonnées y ont cours,
Création de mon Esprit d’Amour qui sans cesse donne et crée. On ne vous l’a pas dit. Je le dis aujourd’hui encore.
Je viens vous le dire pour vous sauver de l’ennui, de la laideur, de l’habitude, de la solitude, de l’isolement, des injures, de la vie ordinaire.
Je viens le redire au monde par ma bien aimée, poète,
pour insister sur cette vie extraordinaire pour laquelle vous etes faits, rien d’habituel, rien de commun, rien de routinier
dans mon royaume, dans ma sainte Ecriture, dans mes saintes paraboles : lisez et relisez : elles sont toujours nouvelles.
Vous êtes mes brebis éloignées. Je viens vous chercher. Je chasse les loups qui sont autour de vous,
Je leur laisse déchirer pour cela mon Corps tout entier, car les loups me dévorent pour m’empêcher de vous sauver.
Mais je ne les crains pas, je ne crains pas de mourir pour vous, car de vous voir vous éloigner de moi me fait mourir.
Non, les loups de l’arrogance, de la laideur, du mensonge, de la dépression, de l’envie de mourir, de n’avoir plus envie de vivre,
De ne servir à rien, de l’ennui, de l’absurdité, du doute, de la solitude, non, ces loups n’auront plus pouvoir sur vous, car je viens.
(Jésus - via Monique Marie - Appel aux jeunes)